Aménagement intérieur d’un appartement

(Marseille)

LE PROJET IMAGINE PAR L’ARCHITECTE

La disposition intérieure de l’appartement a été remaniée avec la suppression du couloir d’entrée et la création d’un grand séjour salle à manger avec cuisine à l’américaine.
La partie chambre a été divisée en deux avec à gauche de la cuisine l’accès à la suite parentale et à droite l’accès aux chambres d’enfants.
Cette organisation simple évite les pertes d’espaces. Elle favorise la vie de famille avec une grande pièce de vie non cloisonnée tout en permettant l’intimité avec des espaces nuit dissociés.

Un parquet en Merbau unifie l’ensemble de l’appartement. Un tapis blanc assorti au canapé et un jeu de faux plafond permettent de différencier l’espace séjour de l’espace salle à manger / cuisine.

Dans le séjour, une bibliothèque d’angle est encastrée dans un meuble de rangement toute hauteur.

Le faux-plafond s’arrête 30 cm avant les murs de façade apportant une certaine modernité à l’ensemble. Éclairage et coffre de volet se cachent dans ce décroché.
Un meuble télé en merisier vernis sur mesure est venu finir la composition dans un second temps.

La cuisine entoure la table qui sert de plan de travail. En continuité de la cuisine, une double portes de style identique cache la réserve.

Le rideau dissimule l’accès aux chambres d’enfant. En face, la porte d’entrée n’est visible d’aucun point de l’appartement rendant le tout plus intime.

Dans la salle de bain des enfants, le meuble sous vasque sur mesure, rouge vif, optimise la capacité de rangement tout en dynamisant la pièce. Le miroir tout hauteur dilate l’espace.

Dans la suite parentale, un verre sablé posé sur la tête de lit permet d’apporter la lumière naturel dans la salle de bain.

Architecture : Grégory Cugnet Architecte
Domaine : Architecture d’intérieur
Localisation : Marseille, Bouches du Rhône, PACA

L’EXISTANT

Situé au centre de Marseille et datant de 1930, l’appartement de 80 m2 est structuré autour d’un couloir qui distribue toutes les pièces. Après l’intervention, seuls deux poteaux ont été conservés dont l’un a été noyé dans le nouveau cloisonnement.